vendredi 9 août 2013
La charade du reniement
"Et si vous repreniez un peu de charades ?"
"J'étais en rade de brest avec un chat dans la gorge."
"J'ai ce qu'il vous faut, un doig d'hydromel, pour être d'un mielleux râpé, par-dessus rapiécé, en restant relaxe, Maxe, sans jamais vous relapser. Las ! Ne vous excusez, cher, ni ne vous rétractez, fort perdre votre dignité."
"Mon âme à Dieu,
Mon corps à la patrie
et mon honneur à moi !"
(lieutenant de vaisseau Pierre guillaume, le "crabe tambour", dont j'ai serré la louche déjà malade, tandis que mon ami Yann Guirec/francis chapalain, dont nous reparlerons au compte rendu, a fait quelques bringues en sa royale compagnie).
Mon premier est blanc de teint, Nougareau, visage Iroquois ? (vous ai-je dit qu'un de mes commençaux a vu Nougareau pisser dans un piano comme dans un violon et puis s'en aller, la vessie soulagée, comme il étaitt venu ? Un bon tour que j'aurais voulu jouer)
Mon deuxième n'est pas out (remarquez que le "off" est encore dans le vent ou le système) ;
mon troisième est un poème faillot de circonstance facile, et a pour homonyme un prénom féminin et un département français, lequel ne diffère que d'une lettre du département du lever du soleil ;
mon quatrième est l'onomatopée du pleur.
Pleurer devrait nous faire mon tout devant tant d'inconstance, à nous rétracter, relapses, relaxes, avec l'inélégance de jouer la cohérence.
Vous pédalez dans la choucroute ?
Autre définition de la même proposition.
Mon premier est le prénom polonais de tous les pôles ;
mon deuxième est un vainqueur du tour qui n'aime pas qu'on lui parle de dommages/dopage ;
mon troisième est un article allemand.
et mon tout est un reniement politique qu'aimerait bien avoir l'air de ne pas s'être renié.
Reliez-moi tout ça, y a du mou dans la corde à noeud et du tangage dans la jonque !
Contractez vos biscoteaux corticaux et épelez-moi un mot de ces syllabes décortiquées.
Plus vous décomposerez, plus je vous appointerai.
Voici l'adresse du béaba pointilleux :
julien.weinzaepflen@numericable.fr
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