dimanche 23 décembre 2012
Des charades pour bien fêter Noël!
Le dernier classement, ainsi que celui de "la charade de la poussière" vous seront envoyés dans la semaine.
En attendant, je profite de la Noële qui s'annonce pour vous envoyer deux petites charades, auxquelles je n'ajouterai pas mes développements habituels, panne d'inspiration, angoisse de la page blanche, ou sentiment de culpabilité devant le devoir non accompli !
Il y a trois formes d'amour : Eros, Philia, et celle qui devraient inspirer nos agapes de demain soir, si nous avons la chance d'en vivre :
mon deuxième devrait être une fille si la fonction privative de mon premier (une voyelle) l'émasculait comme un chapon ;
mon troisième est un vent de non guerreainsi qu'une consonne sise après la voyelle pleine de rondeur (ne vous arrondissez pas à Noël, promis ?) ;
et mon tout est un amour de charité qui faisait qu'une place était laissée vide à Noël, bien que le couvert y fût mis, au cas où un convive aurait voulu y échouer.
Pour ce banquet de la Nativité, je vous souhaite plein de :
on est toujours le (mon premier) de quelqu'un ;
tant qu'il y a de mon deuxième, il y a de l'espoir ;
(bis repetita placent), et je souhaite que mon deuxième, qu'il faut bisser, plaise, car je ne voudrais pas qu'à cette Noële, il y ait à nouveau une recrudescence de suicides, j'ai même fait prier pour cela !
je ne vous souhaite pas de passer Noël mon quatrième (en trois syllabes), couchés parce que malades, de la veille ou du lendemain.
Et mon tout est un esprit de camaraderie qui doit régner dans les banquets et que la bonne chère et le bon vin peuvent entretenir.
Prions un peu, en prenant notre souffle pour accoucher de l'enfant qui va naître :
Mon premier est la première syllabe de l'amour d'amitié ;
mon deuxième est l'auteur du "traité sur le gouvernement civil" à qui rousseau a pris sans le citer sa postulation de "l'état de nature" ;
mon troisième est la seule lettre qui suffit à conjuguer un des deux auxiliaires ;
mon quatrième est votre couche où je ne vous souhaitais pas de passer Noël ;
et mon tout est "la prière du coeur".
fêtez Noël de bon coeur et, comme le chantait Yves duteil :
"au Nom du Père et pour Noël, que la trêve soit éternelle !"
Pacifiez-vous à l''océan torrentiel :
julien.weinzaepflen@numericable.fr
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