samedi 25 janvier 2014

La charade des transports

(Que nul ne se fie à ce titre, je n'ai pas trouvé la charade au moment de la mettre en ligne, et je m'en rapporte aux éléments mis en ligne par le Félin, qui en est l'auteur, pour lui donner un titre. La voici donc: bonsoir, ma tête n'est pas à la fête, mais entre 2 éclaircies, je m'octroie une petite fantaisie! une petite charade pour vous occuper un week-end bien au chaud! mon tout est une trajectoire ni linéaire ni exponentielle! mais la réalité en est bien substentielle et j'espère en faire bouilloner vos cervelles mon 1er: force militaire aéroportée, qui en fait rêver plus d'une, mais son envol ne sert qu'à les ramener à Terre et à ne pas les envoyer dans la lune mon second: il peut être d'air ou d'or, mais s'il est ras, ça risque de péter! mon 3ème: peut être assimilé à l'os, mais j'espère qu'il ne présentera pas de difficulté particulière pour vous vos neurones sont en phase???? pas de difficulté particulière, le Félin manque un peu de subtilité ce soir, mais l'important c'est de participer! alors, répondez vite ici:

vendredi 24 janvier 2014

La charade du Nautilus

Il y avait longtemps, mes amis. Il faut reprendre les bonnes habitudes à pattes de velours. J'ai peur que sinon, le félin ne revienne jamais dans le jeu. donc deux petites charades sans prétention. La première parle de moi. Mon premier est ignoré, surtout de mon plein gré selon un très bon grimpeur. (Les gens qui disent trop malgré ne sont pas "de bonne volonté"), ils n'auront pas la paix. On n'a pas la paix quand on est pétri de paradoxes. Le paradoxe n'est pas une opinion contradictoire, mais l'opinion d'à côté. Le propre des philosophes et des hommes de letres serait de ne pas confirmer "l'opinion commune", mais que fait-on si l'opinion commune est sage ? Mon deuxième est une consonne implosive sonore. Implosez, mais pas sourdement, vous trouverez. Mon troisième recouvre 73 % de la surface terrestre. Je ne tire pas à l'arc et je ne suis pas une flèche, donc je n'ai pas de coeur de mon quatrième. Mais j'ai "un coeur, qui bat sa cadence." On dit que le roseau plie, mais ne rompt pas. Le chêne tient le coup. quant à moi, je prends l'eau, mais je ne coule pas. Je suis mon tout. seconde charade, elle désigne NIKM selon ses amis : sauf chez Martine qui a de l'argenterie, vos couverts sont en mon premier ; Mon deuxième dit "oui" en français et en russe, puis enlève le "ou" pour reformer l'axe gaullien paris-berli-Moscou sans berlin (chamberlin). Ou bien c'est un opéra de verdy sans ail. Ou encore c'est un cheval qui hennit en russe et pas en rute. Ou bien c'est une fête du calendrier romain, suivie par la première lettre de l'alphabet. Il y en a trop ? c'est pour vous faire marronner, les enfants ! Mon troisième est la couleur de NKM vu qu'elle est de droite. Mon tout ne rouille pas. On dit que NIM est comme ça parce qu'elle reste une beauté glaciale, qui technote, qui pipote, fume et boit quoiqu'écolo et pour la diététique. ne rouillez pas en cherchant et répondez ici : julien.weinzaepflen@laposte.net Allez, on reprend les rennes du cheval qui hennit en russe en Laponie. Vous gagnerez toute mon estime et votre place dans le classement, sans trafic, ni pot de vin. vous perdrez un point au dépannage. rompez les rangs ! Militairement Le Nautilus de la sidérurgie

mardi 14 janvier 2014

Un "adimots" anniversaire

Du Croissant de lune: Chers amis de l'amitié, C'est pareil jour il y a trois ans, le 14 janvier 2011, que le tyran de la Tunisie Verte s'enfuyait vers le refuge des tyrans. Il y a trois ans du calendrier Grégorien, un peu plus dans l'Hégirien, la terre s'est soulevé sous les pieds de la tyrannie. Tout juste un peu, la terre a tremblé, secousse profonde qui n'a pas encore transformé le paysage. Des gens ont dit, "nous voulons vivre", il leur fut répondu, "ne vivez pas de votre propre vie". Immédiatement, à l'instant où le tyran prenait la fuite, commençait l'endiguement, non, il commençait bien avant, rapport dialectique permanent, entre dirait-on, le changement et l'hostilité au changement. Ceci veut dire qu'en ce moment même, où il semble que l'endiguement remporte du succès, le soupir puissant et profond des peuples reste agissant, ceci veut dire que les choses ne s'arrêtent pas comme ça. Voici quatre addimots, veuillez répondre en un seul paquet, en une seule fois, facilitez-moi les choses. Premier. Deux mots se combinent pour en former un autre Mot en 10 lettres avec un r en sixième place. rade + comité Définition, liberté organisée, ou bien encore, l'ensemble des tentatives et expériences de liberté organisée. Deuxième. Trois mots s'additionnent pour en former un seul, celui-là m'a donné du mal, mot en onze lettres, Indice c en sixième place, quit + lac + idée Oui, il alla chercher l'idée dans le lac. Sérieusement, la définition, pratique ou praxie du dialogue voire de l'inter-action entre deux éléments, surtout s'ils sont opposés, l'eau et le feu, par exemple. Dans la sphère humaine, il suppose la maîtrise du langage, on voit mal le premier addimots exister sans celui-ci. Troisième. Mot en 10 lettres, Indice l en sixième place, et + myologie Je sais, c'est bancal, mais j'ai pas trouvé mieux. Définition, c'est ce qui fait que l'âne et le cheval n'échangent pas leurs noms et désignations, un âne est vraiment un âne, un cheval est cheval, un chat est un chat. Sans celui-là, le précédent ne saurait être, Platon y tient beaucoup dans son banquet. Dernier. Mot en 7 lettres avec un c en quatrième place, ici + late Définition. Certains soutiennent que mon premier addimots est inséparable de celui-ci. Certains correspondants sur Islam-Infos, allèguent qu'on ne peut avoir l'un sans l'autre, que celui-ci, est la religion du premier, oui, sa religion. J'objectais, mais je trouve que ce n'est pas dénué de sens. Le tout est de savoir de quelle ... il s'agit. Si je suis sûr d'une chose, c'est que celle qui opère au pays de France ne me convient pas, que je ferai tout ce qui est en mon pouvoir, pour anéantir cette fausse ... en la dépouillant de ce qui l'a rendue méconnaissable, pour que vive la vraie ... Vos réponses ici, touttes ensemble, s'il vous plaît, chez julien.weinzaepflen@numericable.fr

dimanche 5 janvier 2014

"L'air dans la tête"

Ce blog, en sommeil depuis ttrop longtemps, s'enrichit de'un nouveau jeu, entièrement rédigé par MUstapha Tarabhat et dont voici la première livraison: Bonjour à tous et chacune ou à toutes et chacun. J'emprunte la formule à André Pruvot. J'essaie d'alterner, mais ne sachant plus ou j'en suis, aujourd'hui,, je livre les deux. "Il est un air pour qui je donnerais Tout Rossini, tout Mozart et tout Weber; Un air très vieux, languissant et funèbre Qui pour moi seul a des charmes secrets." (Nerval, 1808-1855). Je m'aperçois que j'ai oublié d'envoyer le programme télé. Ça s'explique par l'émotion (agréable) que j'ai éprouvée ce matin. "Avec des "si", dit-on (tonton et tontaine), on mettrait Paris en bouteille" (poil aux oreilles). Sans vouloir le mettre en bouteille, que de chansons consacrées à Paris: "Paname, on t'a chantée sur tous les tons..." (Léo Ferré). Il y a environ 25 ans, un ami apris l'initiative de consacrer une cassette de 90 minutes aux chansons sur le thème de Paris. Je ne sais plus si la chanson d'aujourd'hui y est. Certaines chansons (et c'est notre cas ici) portent plus particulièrement sur la Seine: "Moi, je m'en vais; adieu, la Seine, Et d'ici que je revienne, de l'eau coulera sous tes... (Ferré) "T'en souviens-tu, la Seine, Comme ça me revient, me revient... (Anne Sylvestre) (que j'essaierai de vous envoyer dans la journée). Brassens aussi fait intervenir la Seine dans $"les ricochets". Notre auteur a le même prénom qu'un saint du XVIIe siècle qui s'est occupé des pauvres, des prostituées et des galériens. Bien que du Midi (dont il a vanté les gens et la vie), il a chanté Paris, plus particulièrement la Seine, et encore plus particulièrement ces constructions architecturales l'enjambant et unissant les deux rives (la gauche, intellectuelle et bohème) et la droite soi-disant cossue ou bourgeoise. Dans la chanson, il est surtout question des SDF (qui ont perdu, avec le toit, le nom si évocateur de $"clochards"). Ces constructions architecturales en question leur servent de toit, de refuge pour la nuit. Vous avez trouvé quel mot se cache derrière ma périphrase "constructions architecturales enjambant..."? En arabe, c'est al-Kantara; oui, comme la ville espagnole et la revue de l'IMA (Institut du Monde Arabe), symbole de ce qui unit, relie, contrairement au mur, qui sépare, exclut, précisément "désunit". Il fut un temps où France-Culture, le samedi midi, accordait trois minutes à Raymond Devos. Un jour, celui-ci avait choisi pour thème: "je hais les murs..." Résumons-nous pour que ce ne soit pas que digressions et charabia: un chanteur méridional chante un paysage particulier de Paris, fait de ces constructions architecturales enjambant la Seine, et principalement pour personnages des clochards qui y vivent ou y survivent. Alors, vous y êtes? Prêts à le franchir? Allez-y, répondez ici: mustapha.tarabhat75@orange.fr