mercredi 26 septembre 2012

La charade des malportants

Dring, dring, on vous sonne, je vous sonne... les cloches. Pourquoi ? Parce que personne ne s'est précipité sur la liste pour proposer sur ma demande une charade propre à définir le premier tout de la première charade d'avant-hier, vous savez bien, ce qu'en termes strictement internes à cette liste (car il y a un blog des charades), on appelle le "remue-méninges 26". Personne ne s'est précipité et pour cause... Jusqu'ici, un seul joueur (qui est d'ailleurs une joueuse) a résolu ces deux charades qui vous donnent du fil à retordre, voire vous découragent de les résoudre, c'est pourquoi je vous accorde un délai, je vous fais grâce d'un jour de plus : le classement de ces deux charades, ainsi que de celle d'aujourd'hui qui va vous aider sera finalement clos vendredi soir, admirez ma mansuétude ! Donc définissons le tout de ma première charade : mon premieir est l'un des trois pas du cheval ; un des transferts symboliques de la lutte de David contre Goliathnous fait parler de l'antagonisme entre mon deuxième de terre et mon deuxième de fer ; dans la chanson "aux marches du palais", une rivière coulait au milieu de la couche du cordonnier et de sa belle, cette couche est mon troisième ; mon quatrième n'est pas contre ; mon cinquième s'oppose au néant ; beaucoup préfèrent le vin d'ici à mon sixième de là ; mon septième s'oppoose au brute ; et mon tout est le tout de la première charade du 26. "Infirmière, allez voir au 26, ça fait deux jours qu'ils sonnent! "Non mais t'es malade, charadier?" Moi, malade ? Ce sont plutôt les charadeurs qui sont valétudinaires. Soignez-vous ici : julien.weinzaepflen@numericable.fr

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