mercredi 17 octobre 2012

La révolution manif-et-sationnaire

Voici ma décomposition à la deuxième "charade de la délégation" de Ludo, assortie d'un commentaire auquel je tiens : Je décompose et je vais développer brièvement un point qui m'intéresse. Tes deux premiers manient (mais en gancent pas) ; on aime bien voir remuer le popotin des femmes (appelé, dans un langage plus châtié, leurs fesses) ; il ne faut jamais traiter une femme à formes trop charnues de "groop tas" comme l'a fait renaud à son amie Gretta, c'est vulgaire ! Et la colline de Jérusalem est le mont sion. Le point qui m'intéresse est le suivant: Le refus du second 1848 qui eût enraciné la deuxième république dans une conjonction ouvriériste où on aurait eu à coeur de faire de "l'extinction du paupérisme" plus que le slogan qu'a pu récupérer Napoléon III pour inaugurer l'Etat industriel moderne a abouti, non seulement au régime de démocratie représentative que l'on connaît, mais à la fine pointe de ce régime, qui est la "révolution manifestationnaire", autre nom de la sociale démocratie, dont le fonctionnement est de laisser dire, "causer toujours", voire défiler dans la rue, mais avec l'autorisation de la préfecture, et puis ne pas gouverner selon les urnes, avec la vraie majorité du peuple, mais avec "la raison toujours la meilleure de celui qui gueule le plus fort", qui trouve un relais dans la députation, dans la délégation de manifestants reçus par le ministre mis en cause ou, mieux, le Président de la république, avec, pour le dire d'un mot actuel, les "partenaires sociaux", qui ne font que défendre des intérêts catégoriels en scindant la république indivisible

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