mercredi 17 octobre 2012
Nouvelle charade rééducative
Aujourd'hui, nouvelle séance de rééducation.
Moi qui vous casse les pieds, je me suis cassé les deux bras, l'un après l'autre, comme il faut, mais j'étais un casse-pieds avant de me casser les bras. Maintenant, je suis un bras cassé !
Deux charades pour la peine : ne marche-t-on pas sur ses deux jambes ?
Je vous fais souvent des mon premier, comme un curé en chaire sermonnant ses ouailles qui sont tout ouïe. (Et dire que, du temps de La bruyère, les prédicateurs déclamaient en chaire des sermons de trois quarts d'heure qu'ils avaient appris par coeur après les avoir écrits, faut être quand même sacrément amoureux de sa prose !
mon deuxième est le patriotisme comme naissance à la culture d'un pays ou encore, selon Ernest renan, "un plébiscite de tous les jours" ; ce mot s'oppose à la patrie conçue comme la terre et les morts ;
mon tout ne vous fait pas une clef de bras, mais consiste à vous tourner le bras pour que le dos soit à la face, le dos de la main, bien sûr...
Deuxième charade :
Mon premier transpire ;
on tire le lait du deuxième de la vache ;
mon troisième est le panier du poisson ;
mon quatrième est la particule chargée ;
mon tout est la position anatomique de la main et du pied, qui consiste à être couchée sur le dos ou sur la plante ;
je propose une deuxième définition de cette charade, avec une prime de cinq points à qui m'en donnera la décomposition :
mon premieir est une forme nominale du verbe latin, ancêtre selon moi de notre participe passé. D'ailleurs, il est tourné sur le dos, comme le passéiste, mais pourquoi la position anatomique naturelle du pied et de la main suggère-t-elle étymologiquement de faire comme ui ? Dissertez et mieux, prouvez-moi que je me trompe ;
mon deuxième est un champion dans son domaine ;
mon troisième forme les trois dernières lettres de l'oiseau à carlingue.
Triturez-vous les méninges ici en contestant mon passéisme :
julien.weinzaepflen@numericable.frAujourd'hui, nouvelle séance de rééducation.
Moi qui vous casse les pieds, je me suis cassé les deux bras, l'un après l'autre, comme il faut, mais j'étais un casse-pieds avant de me casser les bras. Maintenant, je suis un bras cassé !
Deux charades pour la peine : ne marche-t-on pas sur ses deux jambes ?
Je vous fais souvent des mon premier, comme un curé en chaire sermonnant ses ouailles qui sont tout ouïe. (Et dire que, du temps de La bruyère, les prédicateurs déclamaient en chaire des sermons de trois quarts d'heure qu'ils avaient appris par coeur après les avoir écrits, faut être quand même sacrément amoureux de sa prose !
mon deuxième est le patriotisme comme naissance à la culture d'un pays ou encore, selon Ernest renan, "un plébiscite de tous les jours" ; ce mot s'oppose à la patrie conçue comme la terre et les morts ;
mon tout ne vous fait pas une clef de bras, mais consiste à vous tourner le bras pour que le dos soit à la face, le dos de la main, bien sûr...
Deuxième charade :
Mon premier transpire ;
on tire le lait du deuxième de la vache ;
mon troisième est le panier du poisson ;
mon quatrième est la particule chargée ;
mon tout est la position anatomique de la main et du pied, qui consiste à être couchée sur le dos ou sur la plante ;
je propose une deuxième définition de cette charade, avec une prime de cinq points à qui m'en donnera la décomposition :
mon premieir est une forme nominale du verbe latin, ancêtre selon moi de notre participe passé. D'ailleurs, il est tourné sur le dos, comme le passéiste, mais pourquoi la position anatomique naturelle du pied et de la main suggère-t-elle étymologiquement de faire comme ui ? Dissertez et mieux, prouvez-moi que je me trompe ;
mon deuxième est un champion dans son domaine ;
mon troisième forme les trois dernières lettres de l'oiseau à carlingue.
Triturez-vous les méninges ici en contestant mon passéisme :
julien.weinzaepflen@numericable.fr
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