Bon, tout d'abord, une petite révision s'impose. Les charades vont vous remettre vos idées philosophiques en place, après quoi, on ira batifoler comme il se doit. Il se doit que l'on batifole, c'est bien ainsi que vous l'entendez, n'est-ce pas ?
Première charade :
mon premier est la première lettre de l'alphabet ;
mon deuxième fait le bonheur des casuistes ;
pierre qui roule n'amasse pas mousse ; mais si mon troisième qui roule n'amasse pas six, vous n'avancerez pas des masses ;
mon quatrième est la manière substantive dont ces messieurs de la Pléiade désignaient la "dame de leurs pensées" en ne l'appelant pas grand-mère ;
et mon tout est l'école philosophique du plus grand des philosophes idéalistes ;
deuxième charade :
on aime bien aujourd'hui pratiquer les activités (mon premier-scolaires (en deux syllabes, c'est-à-dire qui ont lieu autour de l'école, bien qu'on n'en soit pas encore à adopter le modèle allemand, qui a toujours parié, non seulement sur les activités d'éveil et sur les sorties hors du sanctuaire de l'école, mais sur l'idée que le matin devait être consacréaux activités purement scolaires et que l'après-midi devait ouvrir les enfants aux activités du corps et de la sensibilité, moyennant quoi il n'est pas rare qu'en allemagne, on voie une fanfare d'enfants animer la ville en plein après-midi ; mais surtout faute d'imiter ce modèle, nos enfants, dont on a théoriquement aboli le travail dans nos pays, travaillent peut-être plus d'heures que nous, à part moi, bien sûr et Alex, peut-être, car quant au croissant de lune, il dort dans son cabinet, c'est bien connu ;
mon deuxième est ce que va me donner le Croissant de lune pour avoir osé imaginer qu'il dormait dans son cabinet ; pour une fois, il n'usera pas de sa cravache, mais de ce porc que Babeth donne à son chien Austral et dont alex appâte son beau Bobo (je n'suis pas un bobo, mes faux pas me collent à la peau, ça durera moins longtemps que les impôts, mais le croissant n'est pas un héros, c'est balavoine qui le dit, ne mangez jamais un croissant avec de mon deuxième, je ne vous dis pas le sandwiche que ça ferait !
mon troisième (en deux syllabes) est un célèbre peintre de l'école vénitienne dont le nom est toujours précédé en france de l'article défini ;
mon tout est une école philosophique dont le principal représentant était le contraire d'un idéaliste, qui eut pour disciple alexandre le grand avant que ce maître ne le plaque, école philosophique dont l'enseignement se caractérisait par le fait qu'il se donnait en marchant, comme il paraît qu'on n'apprend riein en restant chez soi, idée quie st à la bae des pèlerinages ;
la première école philosophique a donné naissance aux nom des organisations centrales régionales de l'education Nationale, dont les rectorats sont ce que les préfectures sont au ministère de l'intérieur de la place beauveau ;
quant à notre seconde école philosophique, l'activité marcheuse incessante de ceux qui discouraient du monde en se mouvant sur la place, à la fois avait un autre nom, le lycée, mais a surtout curieusement évolué, puisque des femmes qui raccolent le client en l'attendant en piétinant sont appelées du même nom que ces philosophes qui n'arrêtaient pas de tourner autour de l'acropole ou du forum, enfin d'où ils voulaient pourvu qu'ils tournassent, sans habiter tournus en bourgogne.
est-ce parce qu'il la prenait pour une de ces dames que le vice-roi s'amouracha de la Péricole, qui écrivit une lettre célèbre à son souteneur, qui ne devait pas être si souteneur que ça, puisque, devant son refus de laisser le vice-roi prendre sa femme pour amante, on l'enferma dans le cachot réservé aux maris...
Mon premier est une île chère à Lionel Jospin, où le simple fait de posséder une bicoque vous assujettit à l'ISF ;
je vous mets en fond de mon deuxième si vous vous déclarez en galère à cause de mes charades ;
mon troisième n'est pas le citron, mais les deux syllabes dont est composé ce mot qui n'existe pas a le nombre maximum de points que peut vous octroyer un dé et pour deuxième syllabe la moitié du transit;
et mon tout est l'attitude de quelqu'un qui ne veut pas obéir à un ordre du vice-roi.
Le vice-roi, c'est moi comme l'Etat, c'était Louis XIV !
"Il grandira, il grandira, il grandira car il est espagnol !"
Hollé !
Je vous attends ici :
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