vendredi 26 octobre 2012

Trois charades de Ludo

Bonjour à toutes et tous, Voici un remue-méninges qui devrait vous tenir en haleine un peu plus longtemps car il n'y a pas une, pas deux mais trois charades, alors au boulot les ciboulots. Et n'oubliez pas de répondre ici : ludovic.thuin@sfr.fr Charade une Mon premier est cette demoiselle qui bat les pavés. Mon deuxième est un fleuve d’Italie. Mon troisième est une conjonction de coordination. Avoir du mon quatrième, c’est avoir de la chance. Mon cinquième est un oiseau. Mon tout se dit des plantes dont les fruits mûrissent sous terre. Charade deux Mon premier est une note de musique. Mon deuxième est un organe filtrant. Mon troisième est un jeu japonais. Vous mettrez un trait d’union ici. Mon quatrième est une note de musique. Mon cinquième est un fleuve prenant sa source en Suisse et se jetant dans la mer du nord aux Pays-Bas. Mon sixième est l’abri du lièvre. Mon tout est une inflammation de la gorge. Charade trois Mon premier est une planète du système solaire. Mon deuxième sert à faire des phrases. Mon troisième n’est pas faible. Mon quatrième était trois pour aller visiter Jésus à sa naissance. Mon tout est le modelage par chauffage tels les plans que l’on nous donne dans les musées où autres lieux accessibles. Amicalement, Lu

mercredi 24 octobre 2012

La charade irréversible

Du Croissant de lune: Chers amis de l'amitié, Je vous ferai quelque-chose de court, les soucis me dévorent, le temps me manque, hélas. Tous ceux qui pensent rigoureusement, s'accorderont à dire que l'homme s'efforce et lutte pour sa vie, son bien, son devenir. Quiconque refuse cet effort, convenons-en sans discussion, ne mérite pas sa part de vie. C'est encore plus vrai, à l'échelle des peuples et des nations, puisque ces entités-là, ne vivent pas sous la protection supérieure d'une véritable loi, d'une vraie règle du jeu. La loi éternelle, semble bien être de prouver son droit à l'existence en combattant pour exister. La liberté se gagne, elle n'est pas un droit, à cette échelle, mais une conquête, le fruit d'un combat. Refuser de payer le prix de la liberté, ou fléchir dans cet effort, c'est bien n'être pas digne de la liberté. Qu'on ne vienne pas objecter un quelconque droit international, une loi qui aurait cours entre les nations. Si cette loi existe, il faudra admettre, que ce sont les plus forts qui l'écrivent. La véritable loi, qui a cours entre les nations, d'une manière ou d'une autre, c'est la loi du plus fort. Loi du plus fort et en tout cas, la loi de ceux qui sont le plus prêts à lutter pour leur préservation. Il s'en suit qu'une nation faible, doit et se doit à elle-même, de lutter afin de croître en force, parce qu'en définitive, à cette échelle, la force et la liberté sont une seule et même chose. Croître en force est le devoir de toute entité politique, soucieuse du peuple qu'elle représente. Ce devoir est de loin supérieur à toute considération oiseuse, telle qu'un supposé droit international, largement fictif ou ambiguë. Il en va de la nation des Musulmans comme de toute autre, la loi éternelle s'impose à elle. Au service de ses peuples, elle se doit de croître en force ou si on veut, en liberté, en souveraineté. Ce n'est qu'ainsi que les nations préservent leurs subsistances, autrement, elle leur est disputée jusque sur leur sol et précaret. Qui ne veut gravir les montagnes vivra au fond des trous, dit un poète. A la forme poétique, manque encore cette lucidité insupportable qui s'impose dans ces affaires, parce que le poète suppose que celui qui ne gravit pas les montagnes, vivra misérablement mais qu'il vivra quand-même. Or, nul n'a plus besoin de misérables ni d'esclaves. Renoncer à la lutte éternelle pour la vie, c'est abruptement perdre la vie. Si vous vous demandez quelle mouche m'a piqué, d'où je sors ça? La réalité concrète objective, pour peu qu'on l'examine, l'enseigne parfaitement. Si j'ai lu un auteur? Oui, un très désagréable, pas un livre de chevet, le manifest du combat. C'est un livre désagréable, mais hélas, il contient des vérités irréfutables. L'auteur est d'un matérialisme presqu'insensé, brutal, au point que l'Arabo-Musulman à la pensée douce et nuancée, a du mal à concevoir que pareille oeuvre fut aussi populaire, elle le fut, incontestablement. Si ce livre contient une vérité, c'est une vérité qui pouvait se découvrir sans le livre, la vérité de la lutte éternelle pour la vie. Cette loi éternelle implacable, s'impose à la nation des Musulmans et à ceux qu'elle groupe, comme à toute autre entité, hélas. Or, il arrive qu'au moment où les hôtes du Miséricordieux remplissent les terres saintes, venus de tous les continents et couleurs, toute langues et climats, il arrive que la tyrannie au pays de Sham, tergiverse au sujet de la trêve proposée, j'ignore à cette heure si l'accord est conclu et s'il y aura une pause dans les violences. Quoi qu'il arrive, rien ne sera plus jamais comme avant. Quand un peuple sort contre un gouvernant, celui-ci, bafoué, devient aussi dangereux qu'un monstre blessé. C'est alors une lutte dont la seule issue décente est la défaite du gouvernant, la victoire du peuple. Pas plus que l'eau d'un fleuve ne revient à sa source, le soulèvement ne peut cesser et les masses regagner leurs foyers et occupations régulières, sans la concrétisation de l'heureuse victoire. Pourquoi arbitrer en faveur des peuples quand ils se heurtent à leurs gouvernants? C'est en vertu du simple fait, que le peuple crée le gouvernant, il en est la matrice, et non pas l'inverse. Souvenez-vous de cette phrase qui valait la pendaison, aux temps où l'usurpateur Plantagenet, s'était saisi de la majeure partie des terres du royaume de France. On murmurait, "Un peuple fait un roi, un roi ne fait pas un peuple". Voici donc une charade illustrative, une seule, le temps me fait défaut. Mon premier finit les phrases, Espace, Mon deuxième est un nombre premier très particulier, Espace, Mon troisième afflige de la part d'une femme, comme il est beau, dans la bouche d'un résistant! Espace, Mon dernier, en deux syllabes se fait vers la terre ou vers Dieu, selon chacun, croyant ou incrédule, Mon tout est une expression qui suggère qu'on a atteint un seuil décisif. Très bonne fête du sacrifice, elle arrive les prochains jours, vendredi peut-être. Vos réponses ici, julien.weinzaepflen@numericable.fr (qui transmettra)!

Les couleurs exotiques de Benoîte

D'abord, le classement des joueurs répertoriés : pour les deux charades de benoîte : 1 Cathou : 40 points ; 2 Jean-Nicolas (qui a trouvé les deux charades en même temps) 36,5 points 3 Babeth 36 points ; 4Julien 19 points ; Mais Julien, ce ne serait pas moi ? Eh bien, je ne connaissais pas le tamanoir. De quoi s'agit-il ? Une petite séance dic ? tamanoir (du tupi) nom masculin Mammifère xénarthre de l'Amérique du Sud, qui se nourrit d'insectes capturés avec sa longue langue visqueuse, appelé aussi grand fourmilier. (Longueur 2,50 m environ avec la queue ; genre Myrmecophaga, famille des myrmécophagidés.) Et ce verbe-animal, le tapir qui se tapit, voulez-vous que nous allions voir ce qui se tapit là-dessous ? tapir (mot tupi) nom masculin 1. Mammifère ongulé d'Asie du Sud-Est et d'Amérique tropicale, portant une courte trompe. (Longueur 2 m environ ; genre Tapirus, sous-ordre des périssodactyles.) 2. Argot scolaire. Jeune élève à qui un normalien donne des leçons particulières. J'espère qu'il ne le bisute pas trop. Comme je ne connaissais pas "tamanoir", benoîte a essayé de me dépanner : mon troisième est le début d'une chanson de Johnny Hallyday. Mais je ne suis pas spécialiste dans les premières syllabes des chansons de Johnny, moi. Il fallait penser à : "Noir c'est noir", évidemment. Après coup, on se dit qu'on était bête de rater le coche. A bout d'espoir (et d'illusions), benoîte m'écrit : "Pour la première charade, la dernière syllabe est une couleur, bienqu'on dise que ça n'en soit pas vraiment une." Je lui répondrai par ce syllogisme insensé extrait de mes aphorismes (on ira loin comme ça) : L'eau n'a pas de goût, le noir est incolore. donc le noir est la couleur de l'eau. [1] [2] -------------------------------------------------------------------------------- [1]En réalité, parole de peintre !, "le noir est l'alliance du carmin (somme de tous les rouges), de la terre d'ombre et du bleu de Prusse" (ma mère). [2] le spectre des couleurs imaginaires A Marceline et Jean-Pierre binckly Après la visite de l’exposition de Marceline Le rose, c’est le sourire du jaune Parce qu’un citron dans la nature, c’est tout seul, c’est pressé, embouteillé, mais ce n’est jamais mis en honneur, ce n’est jamais pelé comme on fait d’une orange, ce n’est jamais respecté. Le jaune est dans le délaissement que l’orange surmonte par sa consanguinité avec « l’âme de la chair » (l’orange est un oignon à plusieurs peaux), Tandis que la rose étale sans pudeur son oignon, son pistile pubien à tout vent d’étamines. Et si roses étaient les champignons qu’on se fait fête de ramasser Tandis qu’on ne ramasse les citrons que pour les presser avec avidité Avant de se plaindre de leur acidité. Acide est le jaune acidulé et basique est le blanc assidu à récapituler. Le noir n’est pas la couleur du néant Même si on pourrait le croire la couleur de l’eau Qui, comme lui, est sans saveur et sans odeur. Mais l’eau n’est pas aub'scure. Elle n’est pas la cessation angoissée de l’ébahissement devant la lumière qui nous fait implorer « à l’aide » quand on ferme les yeux. Le bleu est une couleur froide Devant l’âtre de l’albâtre en passion de purifier dans l’éclat de la lumière. La froideur du bleu nous rappelle que lointain est le ciel pour que nostalgie soit son désir, Ce dont on se console en plongeant dans les regards bleus qui nous séduisent en ne conduisant notre fascination qu’au fond de leurs yeux. L’égocentrisme est un défi joyeux contre l’impossibilité d’atteindre le ciel en prenant comme un pis aller la place de l’horizon. Les séducteurs veulent délivrer de l’invisible. C’est le lot de consolation qu’ils apportent au genre humain. Je sais des filles de feu qui n’ont pas tout jeté à leur flamme. Ce qui d’elles n’a pas été consumé s’est retrouvé transi d’avoir échappé à l’incendie de la forêt, Et dessiné jauni de ne pas avoir eu part au grand « incendie de l’homme ». La fille de feu s’est mariée avec l’ondin sourcier qui regrette, fils de l’eau, de s’être échouéau bord de la rivière, arpent de terre. L’alliance de l’eau et du feu immunise le lien de leur amour contre la séparation. Leur union des contraires les a délivrés des atteintes du temps. Mais ce que la fille de feu n’a pas jeté à l’incendie, joint au regrès du fils de l’eau d’échouer contre un rivage, fait le lit de leurs scènes de ménage, frottées au sel de la promiscuité. Tout mental est relié à l’élémental. Je suis l’esprit planté parmi les germes de la terre et qui bouillonne de ne pouvoir y pousser librement comme un arbre non loin duquel viendrait s’échouer une rivière. Mon bouillonnement fait mon volcan dont les éruptions sont de simples accès de colère, inaccessibles à être dévastateurs pour un autre que moi. Je suis dévasté d’être enfoui, esprit au centre de la terre séparé des âmes et des vivants. Je regarde s’envoler ma bien-aimée et l’écoute me dire, elle qui est née sous le signe de la balance (c'est avec ses balances que Jupiter transigeait) -la balance est un signe d’air qui ne juge et ne tranche jamais- : « Après la mort, nous serons accueillis par une étoile.

mardi 23 octobre 2012

Deux charades de benoîte

De benoîte : voici deux charades, pas trop difficiles. qu'en pensez-vous? 1- Mon premier est le diminutif feminin espagnol. Mon second se trouve en Provence Mon troisième est complêtement ivre Mon tout peut en avaler 30 000 par jour 2- Mon premier n'est plus, si on l'éparpille Mon second n'est pas meilleur Mon tout est tantôt un animal tantôt un verbe Répondre (et résoudre) à mon adresse : julien.weinzaepflen@numericable.fr

dimanche 21 octobre 2012

"Le parti pris des choses"

Aujourd'hui, je vous la fais courte, mais efficace. "Le parti pris des choses", ça ne vous dit rien ? Mon premier est celle des contes ou du logis ; mon deuxième est ce théâtre japonais qui est l'apanage du Japon ; mon troisième est un pronom possessif pluriel de la première personne ; mon quatrième en est un autre, mais cette fois-ci, la pluralité du pronom se double de ce que la même première personne est au pluriel elle aussi ; si je vous disais que je vous ai dit tout ça pour cacher une homonymie à l'intérieur de mes composantes, trouvez-la ! Mon cinquième est le territoire de ma première ; et mon tout est une école philosophiques qui prend "le parti pris des choses", les observe en se mettant comme à l'intérieur, mais en n'ignorant pas que l'observation est une relation, voire en allant jjusqu'à dire que le monde est fonction de la manière dont je l'intentionalise.

Une charade high teck

Du félin: bonjour les amis...tiés! je me dois de faire mon devoir... dominical!!! que ne ferais-je pas pour voir poindre un joli sourire sur le visage de Rodomon et de ses accolites! j'en ai pas dormi de la nuit... euh... si, un petit peu quand même!! mais c'était la semaine dernière, car je l'ai préparé samedi dernier celui-là! hi hi hi désolé pour le verre à Saint Gétorix, mais je n'étais pas encore charadier lorsque Rodomon a pris mon idée! j'espère que celui-ci sera tout neuf, et qu'il vous occupera quelques instants! 1 ça ne vaut même pas celui du lapin 2 on peut soustraire celui d'une voile aux vents forts 3 On admire celle du logis 4 les femmes qui ont de longs cheveux peuvent se permettre de porter celle du cheval Mon tout est indispensable à tous ceux qui souhaitent communiquer grâce à Monsieur GATES, et surtou aux parisiens un peu fénéant le chaton!! hi hi hi au fait... pour me répondre, c'est ici!! alx83@orange.fr

samedi 20 octobre 2012

Oumma et catholicisme, supination et passéisme

Une fois n'est pas coutume, je commence par le classement : 1 Abdel 45 points (premier sur pronation) ; 2 Cathou 38 points ; 3 Benoîte : 37 points ; 4 Babeth, 35 points 5 Jean-Nicolas : 34 points. Le croissant de lune au tableau d'honneur de la citation : Bonjour, Torrentiel aux bras cassés. Faciles tes charades sauf l'histoire du passéisme latin, je n'en ai aucune trace. Tu es un latiniste? "Première charade. Ton premier est le prône, ta prose y ressemble, Ton dernier est la nation, chose vivante, comme la patrie d'ailleurs, faudrait réfléchir à la différence entre ces deux termes, c'est pour moi, une différence de taille, la patrie est plus petite, c'est forcément une terre, la nation peut nêtre qu'un peuple sans terre.. Ton tout est la pronation, quand la paume de la main est tournée vers l'arrière, reposant au sol." Interrompons le croissant de lune pour le laisser répondre à sa propre question dans une missive qu'il m'a adressée il y a longtemps et dont je ne retrouve pas la date : "La nation, qu’est-ce que c’est ? Difficile à définir. La France est une nation, ce qui veut dire qu’elle existerait, même en l’absence de gouvernement Français. La nation n’est pas un gouvernement ou un état. On pourrait en théorie, morceler et créer des états sur le sol et le peuple Français, des états indépendants les uns des autres, à qui on donnerait des noms ou des numéros, mais la nation Française existe sans qu’on puisse la créer. L’état n’est jamais qu’une structure qui correspond ou non à une nation. Quand il s’y juxtapose, on parle d’état-nation. Or, le Liban, la Tunisie, ce sont plus des états que des nations. La nation Arabe, n’a pas de gouvernement, il faudrait le créer, mais elle existe, qu’elle ait ou non, une existence politique, un gouvernement. La Nation Islamique, est une nation de nation, avec cette catégorie peut-être intraduisible de « Oumma ». Elle comprend au moins trois grandes nations, l’Arabe, la Turque et la Perse mais il en est d’autres. La Oumma est une nation de nations, en ce sens qu’elle comprend en son sein diverses nations, mais, tout comme l’Islam en tant que doctrine est la doctrine des doctrines, on peut dire que la Oumma est la nations des Nations, puisque l’idée de nation en procède également. Totalitaire, cette idée ? Non, si c’est ma considération à moi, voulant voir le monde ainsi, dans la mesure où je permets à mon vis-à-vis de le voir différemment. Le peuple correspond généralement à une nation basique, différents peuples composent certaines nations englobantes. Chaque peuple correspond à une nation. On observe quand-même la différence de signification entre le mot « peuple » et le mot « population ». La population de la France n’est pas toute du peuple Français. Le corps social ou société, c’est la population d’un espace donné, en tant qu’agissante et inter-agissante. Corps social ou tissu social, c’est la trame qui réunit des individus associés les uns aux autres par toutes sortes de rapports, des rapports affectifs aux rapports de production, lesquels ne sont pas nécessairement contradictoires, d’ailleurs. La patrie, c’est encore autre chose. La Tunisie, peut être une patrie, la France est une patrie, mais même Lilles ou Marseille sont aussi des patries. C’est le lieu où on a grandi et qu’on aime plus ou moins. On peut dire que la France est tout à la fois une patrie et une nation, doué d’un état." Je (Le torrentiel) reprend la parole :Il m'est arrivé de demander à aymeric Chauperade quelle était selon lui la différence entre la oumma et l'Eglise catholique. Je ne peux pas dire qu'il ait vraimemnt su me répondre. La question se pose parce que l'eglise catholique est certaine que sa doctrine a une vocation universelle. Mais cela interdit en même temps à l'Eglise catholique de se définir comme nation. La oumma, au contraire, s'inscrit dans l'idée de nation. Bien qu'elle ne se soit pas définie de frontières arrêtées, ce qui entend qu'elle ne suspend pas son droit à la conquête, elle s'inscrit dans certaines zones géographiques et ères de civilisation. Pourtant, le "croisériste" que je suis aux yeux du croissant de lune prétend que la oumma a subverti certaines vieilles nations : les cas les plus symptomatiques sont ceux de l'egypte et de la Perse. L'egypte est devenue une nation musulmane le jour où elle a été majoritairement peuplée de musulmans. C'est démocratiquement régulier, mais cela a dissipé les racines anciennes et sans doute folkloriques que nous attribuons à l'egypte ancienne. Nous n'avons pas les mêmes scrupules à voir la grèce être devenue chrétienne sans déplorer que cette christianisation a procédé elle aussi à l'assimilation de la mythologie grecque, la réciprocité critique oblige à le reconnaître. Il en va néanmoins différemment de la Perse, nation plus ancienne que la france, on se plaît à le répéter, où la religion de zoroastre était encore très vivace et survit partiellement, bien que clandestinement, à l'islamisation de l'Iran. La france pourrait-elle faire partie du pré carré musulman ? Est-elle une terre trop éloignée de l'ère géographique actuelle de la civilisation islamique ? L'islamisation de la france serait-elle fondée le jour où les Français, par conversion ou démographie, seraient par improbable, mais non par impossible, devenus majoritairement musulmans ? Cette désaffection identitaire serait-elle une conséquence légitime de la démocratie ? Notre histoire est-elle négociable comme il semble que notre Etat soit à vendre, à maints fonds de pension ou d'investissement étrangers (je ne vise pas spécialement le Qatar) ? Pourquoi l'islam ne considérerait-il pas la France comme "terre de mission" puisqu'il glorifie encore l'époque où il s'était établi en espagne et y avait, selon sa propre historiographie, développé une société harmonieuse et savante ? Mais si le pré carré islamique peut s'étendre au-delà de ses zones d'influence naturelles (comme il s'est déjà vu que cet arabisme s'est inculturé en afrique et en asie), peut-on encore parler de "nation islamique", et pourquoi la oumma, comme l'Eglise catholique, ne reconnaît-elle pas sans ambiguïté sa vocation universelle au prosélitisme que nous autres, catholiques, avons abandonné à tort et par lâcheté ou manque de foi ? "Le syllabaire du sens" est le bon endroit pour poser ces questions, mais continuons à charader et revenons à la décomposition du croissant de lune : " Deuxième charade, Ton premier sue comme Eughène aux livres volumineux, Ton deuxième est la pie, Ton troisième est une nasse, Ton dernier est le "ion", la particule, Ton tout est la suppination, qui porte la paume vers l'avant, ou vers le ciel, dos reposant au sol. Ces deux mouvements sont vrais s'agissant du coude, et encore, les mouvements physiologiques ne sont jamais purs. Particulièrement vrai, s'agissant du pied, ni pronation ni suppination parfaite n'existe physiologiquement. Quant à savoir si la suppination relève du passéisme, je ne vois pas pourquoi, la paume effectrice est tournée vers l'avant et le haut, vers l'avenir, ton raisonnement ou ton prône se ramasse." Quel est le lien entre supinatiion et passéisme ? Le supin, je le réponds au croissant de lune : "1. Parce que le supin est une forme nominale du verbe latin qui ressemble fort au participe passé et est souvent employé, dans sa déclinaison adjective, dans le même contexte; 2. et de fait, comme "supination", il vient du verbe, "supinare", qui signifie "coucher sur le dos", donc, si tu transposes l'anatomie à l'âme humaine, la supination comme position naturelle semble lancer une invitation au passéisme." "Ouais, évidemment, répond le croissant, l'homme couché au sol suggèrerait le passé, je n'entends pas le latin. C'est que l'anatomie est la description des corps morts, donc, la position de référence est celle du cadavre couché sur le dos. Même ainsi, la paume des mains tournée vers le ciel, suggèrerait l'avenir. Actuellement, on veut faire de l'anatomie du vivant, ou plus exactement de l'anatomo-physiologie. Elle diffère plus qu'on ne croit de l'anatomie statique des auteurs anciens, qui, de ce fait, ont commis quelques erreurs nonobstant la somme énorme de leurs travaux. La référence est le grand Rouvière qu'il fallait réciter par coeur, la grammaire de la médecine, livres descriptifs interminables, planches rébarbatives, nuits de veille de l'étudiant, qui croit à la valeur du travail. Pour accoucher de son anatomie, Rouvière dut en passer des heures avec les cadavres, quelle vie! Actuellement, la référence est la description de l'homme debout, pieds écartés à largeur du bassin, paumes tournées vers l'avant, petit doigt sur la couture du pantalon. Dans ce shéma, on ne peut nier que la suppination qui dispose les paumes vers l'avant, dispose à l'élan vers l'avenir, le progrès." Le dernier mot revient donc au croissant de lune.

Oumma et catholicisme, supination et passisme

Une fois n'est pas coutume, je commence par le classement : 1 Abdel 45 points (premier sur pronation) ; 2 Cathou 38 points ; 3 Benoîte : 37 points ; 4 Babeth, 35 points 5 Jean-Nicolas : 34 points. Le croissant de lune au tableau d'honneur de la citation : Bonjour, Torrentiel aux bras cassés. Faciles tes charades sauf l'histoire du passéisme latin, je n'en ai aucune trace. Tu es un latiniste? "Première charade. Ton premier est le prône, ta prose y ressemble, Ton dernier est la nation, chose vivante, comme la patrie d'ailleurs, faudrait réfléchir à la différence entre ces deux termes, c'est pour moi, une différence de taille, la patrie est plus petite, c'est forcément une terre, la nation peut nêtre qu'un peuple sans terre.. Ton tout est la pronation, quand la paume de la main est tournée vers l'arrière, reposant au sol." Interrompons le croissant de lune pour le laisser répondre à sa propre question dans une missive qu'il m'a adressée il y a longtemps et dont je ne retrouve pas la date : "La nation, qu’est-ce que c’est ? Difficile à définir. La France est une nation, ce qui veut dire qu’elle existerait, même en l’absence de gouvernement Français. La nation n’est pas un gouvernement ou un état. On pourrait en théorie, morceler et créer des états sur le sol et le peuple Français, des états indépendants les uns des autres, à qui on donnerait des noms ou des numéros, mais la nation Française existe sans qu’on puisse la créer. L’état n’est jamais qu’une structure qui correspond ou non à une nation. Quand il s’y juxtapose, on parle d’état-nation. Or, le Liban, la Tunisie, ce sont plus des états que des nations. La nation Arabe, n’a pas de gouvernement, il faudrait le créer, mais elle existe, qu’elle ait ou non, une existence politique, un gouvernement. La Nation Islamique, est une nation de nation, avec cette catégorie peut-être intraduisible de « Oumma ». Elle comprend au moins trois grandes nations, l’Arabe, la Turque et la Perse mais il en est d’autres. La Oumma est une nation de nations, en ce sens qu’elle comprend en son sein diverses nations, mais, tout comme l’Islam en tant que doctrine est la doctrine des doctrines, on peut dire que la Oumma est la nations des Nations, puisque l’idée de nation en procède également. Totalitaire, cette idée ? Non, si c’est ma considération à moi, voulant voir le monde ainsi, dans la mesure où je permets à mon vis-à-vis de le voir différemment. Le peuple correspond généralement à une nation basique, différents peuples composent certaines nations englobantes. Chaque peuple correspond à une nation. On observe quand-même la différence de signification entre le mot « peuple » et le mot « population ». La population de la France n’est pas toute du peuple Français. Le corps social ou société, c’est la population d’un espace donné, en tant qu’agissante et inter-agissante. Corps social ou tissu social, c’est la trame qui réunit des individus associés les uns aux autres par toutes sortes de rapports, des rapports affectifs aux rapports de production, lesquels ne sont pas nécessairement contradictoires, d’ailleurs. La patrie, c’est encore autre chose. La Tunisie, peut être une patrie, la France est une patrie, mais même Lilles ou Marseille sont aussi des patries. C’est le lieu où on a grandi et qu’on aime plus ou moins. On peut dire que la France est tout à la fois une patrie et une nation, doué d’un état." Je (Le torrentiel) reprend la parole :Il m'est arrivé de demander à aymeric Chauperade quelle était selon lui la différence entre la oumma et l'Eglise catholique. Je ne peux pas dire qu'il ait vraimemnt su me répondre. La question se pose parce que l'eglise catholique est certaine que sa doctrine a une vocation universelle. Mais cela interdit en même temps à l'Eglise catholique de se définir comme nation. La oumma, au contraire, s'inscrit dans l'idée de nation. Bien qu'elle ne se soit pas définie de frontières arrêtées, ce qui entend qu'elle ne suspend pas son droit à la conquête, elle s'inscrit dans certaines zones géographiques et ères de civilisation. Pourtant, le "croisériste" que je suis aux yeux du croissant de lune prétend que la oumma a subverti certaines vieilles nations : les cas les plus symptomatiques sont ceux de l'egypte et de la Perse. L'egypte est devenue une nation musulmane le jour où elle a été majoritairement peuplée de musulmans. C'est démocratiquement régulier, mais cela a dissipé les racines anciennes et sans doute folkloriques que nous attribuons à l'egypte ancienne. Nous n'avons pas les mêmes scrupules à voir la grèce être devenue chrétienne sans déplorer que cette christianisation a procédé elle aussi à l'assimilation de la mythologie grecque, la réciprocité critique oblige à le reconnaître. Il en va néanmoins différemment de la Perse, nation plus ancienne que la france, on se plaît à le répéter, où la religion de zoroastre était encore très vivace et survit partiellement, bien que clandestinement, à l'islamisation de l'Iran. La france pourrait-elle faire partie du pré carré musulman ? Est-elle une terre trop éloignée de l'ère géographique actuelle de la civilisation islamique ? L'islamisation de la france serait-elle fondée le jour où les Français, par conversion ou démographie, seraient par improbable, mais non par impossible, devenus majoritairement musulmans ? Cette désaffection identitaire serait-elle une conséquence légitime de la démocratie ? Notre histoire est-elle négociable comme il semble que notre Etat soit à vendre, à maints fonds de pension ou d'investissement étrangers (je ne vise pas spécialement le Qatar) ? Pourquoi l'islam ne considérerait-il pas la France comme "terre de mission" puisqu'il glorifie encore l'époque où il s'était établi en espagne et y avait, selon sa propre historiographie, développé une société harmonieuse et savante ? Mais si le pré carré islamique peut s'étendre au-delà de ses zones d'influence naturelles (comme il s'est déjà vu que cet arabisme s'est inculturé en afrique et en asie), peut-on encore parler de "nation islamique", et pourquoi la oumma, comme l'Eglise catholique, ne reconnaît-elle pas sans ambiguïté sa vocation universelle au prosélitisme que nous autres, catholiques, avons abandonné à tort et par lâcheté ou manque de foi ? "Le syllabaire du sens" est le bon endroit pour poser ces questions, mais continuons à charader et revenons à la décomposition du croissant de lune : " Deuxième charade, Ton premier sue comme Eughène aux livres volumineux, Ton deuxième est la pie, Ton troisième est une nasse, Ton dernier est le "ion", la particule, Ton tout est la suppination, qui porte la paume vers l'avant, ou vers le ciel, dos reposant au sol. Ces deux mouvements sont vrais s'agissant du coude, et encore, les mouvements physiologiques ne sont jamais purs. Particulièrement vrai, s'agissant du pied, ni pronation ni suppination parfaite n'existe physiologiquement. Quant à savoir si la suppination relève du passéisme, je ne vois pas pourquoi, la paume effectrice est tournée vers l'avant et le haut, vers l'avenir, ton raisonnement ou ton prône se ramasse." Quel est le lien entre supinatiion et passéisme ? Le supin, je le réponds au croissant de lune : "1. Parce que le supin est une forme nominale du verbe latin qui ressemble fort au participe passé et est souvent employé, dans sa déclinaison adjective, dans le même contexte; 2. et de fait, comme "supination", il vient du verbe, "supinare", qui signifie "coucher sur le dos", donc, si tu transposes l'anatomie à l'âme humaine, la supination comme position naturelle semble lancer une invitation au passéisme." "Ouais, évidemment, répond le croissant, l'homme couché au sol suggèrerait le passé, je n'entends pas le latin. C'est que l'anatomie est la description des corps morts, donc, la position de référence est celle du cadavre couché sur le dos. Même ainsi, la paume des mains tournée vers le ciel, suggèrerait l'avenir. Actuellement, on veut faire de l'anatomie du vivant, ou plus exactement de l'anatomo-physiologie. Elle diffère plus qu'on ne croit de l'anatomie statique des auteurs anciens, qui, de ce fait, ont commis quelques erreurs nonobstant la somme énorme de leurs travaux. La référence est le grand Rouvière qu'il fallait réciter par coeur, la grammaire de la médecine, livres descriptifs interminables, planches rébarbatives, nuits de veille de l'étudiant, qui croit à la valeur du travail. Pour accoucher de son anatomie, Rouvière dut en passer des heures avec les cadavres, quelle vie! Actuellement, la référence est la description de l'homme debout, pieds écartés à largeur du bassin, paumes tournées vers l'avant, petit doigt sur la couture du pantalon. Dans ce shéma, on ne peut nier que la suppination qui dispose les paumes vers l'avant, dispose à l'élan vers l'avenir, le progrès." Le dernier mot revient donc au croissant de lune.

vendredi 19 octobre 2012

Deux charades de cathou

Bonjour, Aujourd'hui vous en aurez deux pour le prix d'une Mon premier est une note de musique Mon deuxième est une lame de fer édentée On se couche dans mon troisième Mon quatrième est une règle Mon tout est un verbe mon premier est un médecin mon deuxième est une partie rétrécie d’un organe mon troisième est une partie physique d’un être vivant mon quatrième est une commune française de la région aquitaine on cinquième est une éspèce de poisson mon sixième est un article défini mon tout est une forme de thérapie merci de répondre ici catherine.doleac@sfr.fr

La charade des fuites

Bonjour à toutes et tous, Il n'est pas si simple de trouver de nouveaux mots à vous poser. Le triturage de méninges va dans les deux sens, vous pour chercher la réponse et moi pour formuler la charade. Mais bon, allons-y, et voyons ce que ça donne. Il y en aura deux et n'oubliez pas qu'il faut répondre ici: ludovic.thuin@sfr.fr Charade une Mon premier peut-être de bure, de magistrat ou de chambre. Mon deuxième est une racine latine signifiant en double. Vous passez votre temps à surfer sur mon troisième. Mon quatrième est ce que l'on fait avant de classer. Mon tout est l'usine qui fabrique cet ustensile qui permet de régler le flux d'eau sortant d'une tuyauterie. Charade deux Mon premier est le symbole chimique de l'aluminium, il fallait bien que je vous en place un quelque part ! Mon deuxième est ce que l'on dit d'un livre quand on l'a finit. Mon troisième est une rivière de France. Mon tout est ce genre de femme qui déclenche un incendie mais qui n'a aucune prétention de l'éteindre ! lol Amicalement, Lud

mercredi 17 octobre 2012

La révolution manif-et-sationnaire

Voici ma décomposition à la deuxième "charade de la délégation" de Ludo, assortie d'un commentaire auquel je tiens : Je décompose et je vais développer brièvement un point qui m'intéresse. Tes deux premiers manient (mais en gancent pas) ; on aime bien voir remuer le popotin des femmes (appelé, dans un langage plus châtié, leurs fesses) ; il ne faut jamais traiter une femme à formes trop charnues de "groop tas" comme l'a fait renaud à son amie Gretta, c'est vulgaire ! Et la colline de Jérusalem est le mont sion. Le point qui m'intéresse est le suivant: Le refus du second 1848 qui eût enraciné la deuxième république dans une conjonction ouvriériste où on aurait eu à coeur de faire de "l'extinction du paupérisme" plus que le slogan qu'a pu récupérer Napoléon III pour inaugurer l'Etat industriel moderne a abouti, non seulement au régime de démocratie représentative que l'on connaît, mais à la fine pointe de ce régime, qui est la "révolution manifestationnaire", autre nom de la sociale démocratie, dont le fonctionnement est de laisser dire, "causer toujours", voire défiler dans la rue, mais avec l'autorisation de la préfecture, et puis ne pas gouverner selon les urnes, avec la vraie majorité du peuple, mais avec "la raison toujours la meilleure de celui qui gueule le plus fort", qui trouve un relais dans la députation, dans la délégation de manifestants reçus par le ministre mis en cause ou, mieux, le Président de la république, avec, pour le dire d'un mot actuel, les "partenaires sociaux", qui ne font que défendre des intérêts catégoriels en scindant la république indivisible

Compte rendu classé de la charade oftalmologique

Babeth, je t'ai attendue, attendue, et comme tu as fait la tortue et que tu n'es pas venue, je me suis mis à t'appeler Madeleine. Ludo m'a dit que les orthoptistes n'avaient fait, à lui aussi, que lui fatiguer les yeux. Comme il va dans le sens que je postulais, il arrive en tête : 1 Ludo, 22 points ; 2 ex aequo Benoîte et abdel : 19 points. Je cite Abdel, surtout à cause de la remarque qu'il fait sur mon premier : Bonsoir Torrentiel, ton remue-méninges est peut-être un orthoptiste. Ton premier est l'or, couleur de blé et précieux comme lui. Le carat d'or pèse le poids d'un grain de blé, il fut établi ainsi. Je tiens cela d'Ibnou-Khaldoun. Ton deuxième doit être le "top", mais dans une église on donne plutôt la paix, "Je vous donne la paix, je vous donne ma paix", si j'en crois France-Culture. Ton troisième est l'araignée bienfaisante, qui tisse sa toile sur la caverne où l'envoyé de Dieu, paix et bénédiction, s'est réfugié, fuyant avec Abou-Bakr, ceux qui avaient conclu leur mise à mort, ce que voyant, ils crurent que personne n'était entré dans ce trou, la toile étant intacte. Ton dernier est "te", ce qui te concerne, pas moi, Ton tout serait l'orthoptiste, praticien de rééducation oculaire.

Nouvelle charade rééducative

Aujourd'hui, nouvelle séance de rééducation. Moi qui vous casse les pieds, je me suis cassé les deux bras, l'un après l'autre, comme il faut, mais j'étais un casse-pieds avant de me casser les bras. Maintenant, je suis un bras cassé ! Deux charades pour la peine : ne marche-t-on pas sur ses deux jambes ? Je vous fais souvent des mon premier, comme un curé en chaire sermonnant ses ouailles qui sont tout ouïe. (Et dire que, du temps de La bruyère, les prédicateurs déclamaient en chaire des sermons de trois quarts d'heure qu'ils avaient appris par coeur après les avoir écrits, faut être quand même sacrément amoureux de sa prose ! mon deuxième est le patriotisme comme naissance à la culture d'un pays ou encore, selon Ernest renan, "un plébiscite de tous les jours" ; ce mot s'oppose à la patrie conçue comme la terre et les morts ; mon tout ne vous fait pas une clef de bras, mais consiste à vous tourner le bras pour que le dos soit à la face, le dos de la main, bien sûr... Deuxième charade : Mon premier transpire ; on tire le lait du deuxième de la vache ; mon troisième est le panier du poisson ; mon quatrième est la particule chargée ; mon tout est la position anatomique de la main et du pied, qui consiste à être couchée sur le dos ou sur la plante ; je propose une deuxième définition de cette charade, avec une prime de cinq points à qui m'en donnera la décomposition : mon premieir est une forme nominale du verbe latin, ancêtre selon moi de notre participe passé. D'ailleurs, il est tourné sur le dos, comme le passéiste, mais pourquoi la position anatomique naturelle du pied et de la main suggère-t-elle étymologiquement de faire comme ui ? Dissertez et mieux, prouvez-moi que je me trompe ; mon deuxième est un champion dans son domaine ; mon troisième forme les trois dernières lettres de l'oiseau à carlingue. Triturez-vous les méninges ici en contestant mon passéisme : julien.weinzaepflen@numericable.frAujourd'hui, nouvelle séance de rééducation. Moi qui vous casse les pieds, je me suis cassé les deux bras, l'un après l'autre, comme il faut, mais j'étais un casse-pieds avant de me casser les bras. Maintenant, je suis un bras cassé ! Deux charades pour la peine : ne marche-t-on pas sur ses deux jambes ? Je vous fais souvent des mon premier, comme un curé en chaire sermonnant ses ouailles qui sont tout ouïe. (Et dire que, du temps de La bruyère, les prédicateurs déclamaient en chaire des sermons de trois quarts d'heure qu'ils avaient appris par coeur après les avoir écrits, faut être quand même sacrément amoureux de sa prose ! mon deuxième est le patriotisme comme naissance à la culture d'un pays ou encore, selon Ernest renan, "un plébiscite de tous les jours" ; ce mot s'oppose à la patrie conçue comme la terre et les morts ; mon tout ne vous fait pas une clef de bras, mais consiste à vous tourner le bras pour que le dos soit à la face, le dos de la main, bien sûr... Deuxième charade : Mon premier transpire ; on tire le lait du deuxième de la vache ; mon troisième est le panier du poisson ; mon quatrième est la particule chargée ; mon tout est la position anatomique de la main et du pied, qui consiste à être couchée sur le dos ou sur la plante ; je propose une deuxième définition de cette charade, avec une prime de cinq points à qui m'en donnera la décomposition : mon premieir est une forme nominale du verbe latin, ancêtre selon moi de notre participe passé. D'ailleurs, il est tourné sur le dos, comme le passéiste, mais pourquoi la position anatomique naturelle du pied et de la main suggère-t-elle étymologiquement de faire comme ui ? Dissertez et mieux, prouvez-moi que je me trompe ; mon deuxième est un champion dans son domaine ; mon troisième forme les trois dernières lettres de l'oiseau à carlingue. Triturez-vous les méninges ici en contestant mon passéisme : julien.weinzaepflen@numericable.fr

lundi 15 octobre 2012

"Le in et le on", dissociation et confusion, compte rendu de la charade du linge sale

Tout d'abord, voici les réponse aux questions subsidiaires : Quel est le créateur du "sapeur camember" ? Ecoutons benoîte, très précise: "Les facéties du sapeur Camember fait partie d'un groupe d'ouvrages écrits par Georges Colomb La famille Fenouillard, L'idée fixe du savant Cosinus et Les malices de Plick et Plock." Depuis 1980, "La bougie du sapeur" est le seul journal qui paraît tous les quatre ans, le 29 février des années bisextiles. Quel est l'étymologie du mot exercice ? Dic donne le mot "exercitium", mais il est plus évocateur de dire que l'"exercice" vient du mot latin "exercitus", troupe sous les armes et troupe en général. Par extension de ce sens, l'exercice est la séance d'instruction militaire pratique. Notre exercice qui fait le maître doit donc s'imposer une espèce de discipline militaire, de devoir soldatesque. En quels thermes la reine Victoria a-t-elle rencontré le prince albert ? Aux thermes d'aix-en-Provence. Dans le corps de ma deuxième charade, qui se donnait pour la "version extravertie" de la première et qui, de ce fait, est longtemps restée invisible, comme occulte, à plusieurs joueurs que j'ai dû rattraper par la manche, la pièce de vitorien Sardoux à laquelle il était fait allusion était "Madame sans gêne". Je retiens la décomposition du croissant de lune (qui se voit octroyer pour cette retenue une bonification de 5 points, il le mérite) : "Bonjour Torrentiel, bonne reprise. Tu nous fais dans le "in" et le "of", le dedans et le dehors, ils sont en continuité. Rien n'est totalement hors de toi, et en même temps, tout passe par toi. Ah, quand j'en aurai le temps et la force, je ferai un développement sur l'hollisme, et les deux failles qui sont la dissociation d'une part et la confusion de l'autre. Oui, c'est cela, tout s'associe, mais tout ne s'emmêle pas. Ta première charade. "Au clair de la lune" se joue en do. Ton petit a, c'est l'an, mais je ne connais pas le nom du saint marchand de fromage que tu fais surgir, Ton petit b, est le dos, mon premier gagne-pain, Ton second est la gêne, en principe hostile au plaisir, sauf, si c'est celle d'autrui, savoir. Ton tout est endogène, ce qui est en moi, ce qui est en toi. Deuxième charade (le croissant de lune a pris pour ma deuxième charade ce qui n'était que la troisième) : Ton premier est l'exo, mais je ne connais pas l'origine de l'exercice. J'ai lu dans un historien, qu'aux premiers temps, les Musulmans casernés dans les pays ouverts, se tenaient dans des camps où on négligeait de les entraîner. Faute d'exercice et d'occupation, les querelles éclataient, invectives tribales, suivis de duels, on y remédia par l'exercice. (note du charadier : on retrouve donc dans cet exemple les vertus pacificatrices de l'exercice). Donc, ton petit a est ton aix, ton petit b, c'est les eaux qu'elle prend, je ne sais pas où, tu me colles en histoire. Ton deuxième sont les gammes qu'il faut faire à titre d'exercice d'échauffement, Ton dernier est la voyelle "i", celle qui sourit, Ton tout est l'exogamie. Quand je posais que la Nation des Musulmans évolue vers la meilleure des situations démographiques, ce n'était pas en quantité, sa natalité diminue vers l'équilibre. Ce que j'entendais par là, c'est qu'elle tend à délaisser l'endogamie. Or, si elle fut viable malgré cette endogamie permanente, on n'épousait guère que sa cousine dans le peuple, sa vitalité devrait augmenter par le renouveau matrimonial et le métissage lointain. Très bon appétit! Croissant de lune" Oui, excellent petit-déjeuner à tous, mais vous attendez votre classement. Je ne vous ferai pas languir plus longtemps : 1 Benoîte : 65 points ; 2 Abdel : 63 points ; 3 Ludo : 43 points (il n'en mériterait que 36, arivé quatrième sur la première charade et troisième sur la deuxième, ayant de plus recouru à la dépanneuse, mais trouvé la réponse à deux questions subsidiaires. Or il était tout près de trouver "exogamie" (ce qui lui rapporte 2 points), avec une décomposition pas piquée des vers (dont la citation lui vaut quatre points) : "Tu dois parler de ton ex-femme qui n'a pas perdu ses eaux qui ne seraient certainement pas rouge et qui est partie faire ses gammes ailleurs pour diversifier le genre humain. Ce qui devrait donner quelque chose comme "Exogame" mais là encore, la dépanneuse sera de sortie, non ?" Elle le fut, mais Ludo l'oublia. Le quatrième est Jean-Nicolas, qui termine à la peine avec 18 points, ce qui n'est pas son habitude : " Bonjour, Pour la première, je te propose endogène an dos gêne Pour les autres, je ne sais pas Amicalement Jean-Nicolas" Bienvenue sur mes cinq blogs : http://www.etudestorrentielles.blogspot.com http://cooperativepoetique.blogspot.com le syllabaire du sens ou le blog des charades : http://wwww.leblogdescharades.blogspot.fr Le blog de la confrontation faciale entre un chrétien et un tenant de l'islam politique : le Croissant de lune chez le torrentiel http://www.islampolitique.blogspot.fr Enfin, le blog princeps, mais le moins fourni, ayant une intention livresque de "journal idéatif" : http://www.journaltorrentiel.blogspot.com Vous pouvez également consulter mes liens sociaux : Misez sur mes chansons : http://www.mymajorcompany.com/Artistes/julwein Ecoutez-les ici : http://www.myspace.com/julienweinzaepflen ou via facebook : http://www.facebook.com/profile.php?id=100001042556388&ref=profile

dimanche 14 octobre 2012

La charade oftalmologique

"Comment l'entendez-vous", "ça vous regarde" ? Quoi, qui vous regarde ou pas ? Où j'étais ce week-end ? Ce n'est pas un secret et pourtant, je le garderai. Mais, bien que je le garde - parce qu'il ne s'agit pas non plus que vous puissiez lire dans ma vie à livre ouvert, non mais... -, la charade du jour m'a été inspirée par un récit qui m'a été fait ce week-end. Mais d'abord, quelques éléments de contexte. connaissez-vous la kynésiologie, la PNL (Programmation Neuro-Linguistique) ? Pendant un temps, j'ai été fortement incité à m'y intéresser par une cousine qui croyait y avoir trouvé l'alpha et l'oméga d'une bonne communication ainsi que d'une utilisation maximale des forces de son cerveau. Elle y voyait, en quelque sorte, un principe d'activation cérébrale. La Programmation Neuro-Linguistique est une méthode inventée par un certain Milton erikson qui prétendait avoir vaincu par les forces de sa découverte la poliomyélite dont il avait souffert, enfant, bien qu'il en connût une rechute, peu d'années avant sa mort. Son idée était qu'on n'utilisait que 5 % de son cerveau et qu'au moyen de recettes comme l'hypnose (sans assoupissement du sujet), injustement abandonnée par Freud, mais aussi, antécédemment, par une meilleure synchronisation de sa communication verbale et de sa communication non verbale, on pourrait précisément, à la fois accroître son pouvoir sur sa propre volonté, et avoir davantage accès au monde des synchronicités dans lequel s'attirent les coïncidences pour nous parler en une langue des signes qu'il est inexplicable que nous ayons tant de mal à traduire, comme si nous nous étions résolus à ce que cette langue des signes ne soit qu'un champ magnétique incapable de rien signifier, ou comme si dieu faisait un clin d'oeil à notre croyance en l'absurdité du monde en nous parlant en langue des signes sans que la sémiotique qui nous permettrait de la traduire en un champ clair de signification soit à notre portée. A l'usage - puisque j'ai essayé -, cette méthode m'a paru tenir à la fois du charlatanisme et de quelques aptitudes mentales étonnantes. Par exemple, c'est en essayant d'appliquer les rudiments de cette méthode que j'avais compris que j'ai pu établir avec mon père, qui était à l'article de la mort, un dialogue de conscience dont je demandais à dieu de me confirmer qu'il n'était pas un leurre en faisant que, si mon père et moi nous étions bien compris, il retrouve le lendemain un peu de vigueur. Or le fait est que, le lendemain, il était transformé et ne parvint à rien de moins qu'à organiser un entretien où, convoquant tous les siens, il nous interrogea chacun tour à tour sur ce que nous pensions de sa mort et nous communiqua la peur qu'il en avait. Lorsque je consultai un kynésiologue, celui-ci me fit boire un verre d'eau (avec moi, ce n'est jamais du luxe). Puis il s'assit à côté de moi, je l'entendais de temps à autre chuchoter à voix basse. Il me dit qu'il était en communication avec mon inconscient, lequel lui révéla des formules qu'il chercha dans son livre, ces formules étant les suivantes : "Dans la peur de perdre, je me sens amer" et : "Dans l'hostilité, je me sens sarcastique." Il me fit répéter ces formules en dirigeant mes yeux de tout côté, tout en se demandant quelle était la pertinence de l'application de sa méthode sur un non-voyant. Cela ne me fit pas recouvrer la vue, et il ne l'imaginait pas (je ne vous raconte pas cette histoire pour le tourner en ridicule) : le fait de me faire tourner les yeux de tout côté avait pour but selon lui de donner à tout mon corps la conscience des réalités qu'il avait découvertes en parlant avec mon inconscient, dans le but d'imprimer à toutes ces parties de mon corps la volonté de lutter ensuite contre ces réalités, qu'il avait identifiées comme les sources de blocage des problèmes que je lui avais signalés. Mais le fait de tourner ainsi les yeux me donna à la fin, à la fois une sensation de vertige, de fatigue et de relaxation. Pour montrer à quel point je ne le trouvai pas ridicule de prétendre parler avec mon inconscient, il y eut un moment dans la séance où je m'évadai, en écoutant monter la petite fille qui habitait l'appartement à côté du mien, une petite fille dont j'aimais bien la fraîcheur et la vitalité. Peut-être mon visage trahit-il que j'avais l'attention fixée ailleurs, en tout cas il me dit : "vous êtes avec moi ?", ce que j'entendis comme : "Revenez avec moi !" Or une des personnes avec lesquelles j'étais ce week-end m'a raconté qu'étant malvoyante, elle avait suivi des cours intensifs de rééducation visuelle, qui avaient fini par lui donner une appréhension complètement différente et infiniment plus reposante de la manière dont elle regardait, mais qui, avant d'en arriver là, stimulaient tellement ses yeux qu'elle finissait par en avoir des hallucinations visuelles. Lorsque je suis arrivé à Mulhouse, je suis allé proposer mes services d'organiste à la paroisse située juste en face de chez moi. Cette église avait pour particularité de n'avoir pas d'organiste titulaire, mais de préférer les faire tourner, et je voulais être de la ronde, je finis par en être. Mais cette personne commença par me manifester je ne sais combien de réticences. Je finis par lui faire cracher le morceau, de sorte qu'elle m'avoue enfin : "Mais enfin, comprenez que votre handicap nous fasse peur !" Je lui répondis que je le comprendrais de toute autre, mais pas de personnes engagées dans l'Eglise, parce qu'elles étaient des non pratiquantes du discours qu'elles tenaient sur l'accueil des plus faibles et des handicapés, qui sont une richesse pour l'Eglise, etc., et que rien ne me rebutait autant que ce genre d'incohérence majeure. Or cette personne exerçait la profession qu'il va s'agir pour vous de trouver maintenant : vous trouvez mon premier dans des mines, on en a fait un étalon, et ce métal précieux est le plus haut symbole de la valeur monétaire ; quand j'aurai fini de poser ma charade, je vous donnerai mon deuxième pour que vous puissiez partir et me donner la solution de l'énigme ; il n'y a pas que les peintres qui travaillent sur les toiles, les araignées aussi (mon troisième) les leurs (je n'ai pas écrit les leurres, ces trompe-l'oeil des peintres, je parle bien des araignées, ne vous laissez pas leurrer et dériver) ! mon quatrième est un pronom personnel du tutoiement et de valeur complémentaire ; et mon tout est la profession qui a peut-être provoqué des hallucinations visuelles à mon amie, rencontrée ce week-end. Je vous donne mon deuxième. Soyez hallucinants de perspicacité et ahurissez-moi ici : julien.weinzaepflen@numericable.fr

La charade félinoise

mon intervention dominicale tant attendue, somptueusement réfléchie et délicieusement couchée sur le papier vous est servie! à vos neurones... et à vos plumes!!! euh... à vos claviers!!! où avais-je la tête alouette!! 1 ils peuvent être de terre, solitaires, ou poêtiques voir selon la destinataire, romantiques sans toutefois être obligé de passer par la case Saint Marc! (Rome antique!!! hi hi hi) 2 le surnom de Simon TEMPLAR dans une célèbre série télévisée, en raison de ses initiales 3 il peut être premier, de pierre, d'eau 4 celui d'imposition est toujours trop élevé et très difficile à avaler! 5 querelle violente mon tout est un ami de César à qui Alésia coûtera la vie! ils voulaient tous les deux avoir la Gaule!! hi hi hi à vos crayons, à vos plumes, à vos stylos, à vos burins, à vos tablettes... de marbre!!!!! hi hi hi Et répondez ici : alx83@orange.fr

vendredi 12 octobre 2012

La charade de la délégation

Aujourd'hui, c'est Ludo qui régale: Bonjour à toutes et tous, Allons-y pour deux petites qui feront deux classements comme la dernière fois. Charade une. Mon premier est l'objet du hasard par excellence. Mon deuxième est le symbole du plutonium. Mon troisième est un adjectif possessif ou le symbole du tantale. Mon quatrième est le brin fin qui termine une canne à pêche. Mon tout est une délégation. Charade deux Mon premier est un adjectif possessif de la première personne du singulier. Mon deuxième réfute. Mon troisième sont les parties charnues de la femme que les hommes aiment bien voir rouler lol. Mon quatrième est la même chose que mon premier mais à la deuxième personne du singulier. Mon cinquième est une colline de Jérusalem. Mon tout est un rassemblement public pour exprimer une opinion. Et n'oubliez pas de répondre ici : ludovic.thuin@sfr.fr Amicalement, Ludo

mercredi 10 octobre 2012

La charade du linge sale

"Qu'est-ce qu'on fait ? On mange dedans ou dehors ?" "Non, mais t'as pas vu le froid qu'y fait ? On va se peler, se geler les miches !" (Louis braille à son camarade d'internat Gabriel Moutier, la première nuit qu'il y coucha, Gabriel le surprenant à sangloter) : "J'ai froid, au corps, mais surtout au coeur." En allemand, on appelle cela le Heimwee, "le mal de la maison, mieux traduit par "le mal de l'intime". "J'ai mal à mon moi", j'ai mal jusqu'à l'intime, c'est tripal, c'est tribal, jusqu'au démembrement de tout mon corps, j'ai mal posé la question : "On mange où ? Dedans ou dehors ? Vous vous sentez introverti ou extraverti ? vous voulez que tout se passe à l'intérieur de vous ou on ouvre le ban, et la reine ouvre le bal ? Une, deux, trois ! Menuet ! tsouin, tsouin, tango, barbecue ! Ca va être la problématique du jour : En général, "au clair de la lune" se joue mon premier qui se décompose ainsi : mon petit a) ne varie en nombre de jours que les bisextiles où paraît "le sapeur camembert" inventé par quel auteur, déjà ? L'auteur de quelle célèbre bande dessinée ? (toutes mes questions subsidiaires rapportent des points supplémentaires). mon petit b) en a plein, non les guiboles, ni le séant, mais la colonne vertébrale ; là où il y a de mon deuxième, il n'y a pas de plaisir ; et mon tout se passe entièrement à l'intérieur de vous, sans intervention de quiconque, c'est le mugle et le remugle de vos organes et de vos émotions qui émulsionne et fait le travail des gargouillis ! Maintenant, Jouons-la version extravertie : mon premier (en deux syllabes) est l'argot de l'exercice (dont l'origine est militaire et fait le maître, cette parenthèse étant accessoire à la charade, sauf pour un point supplémentaire éventuel : quelle est l'étymologie du mot "exercice" ?) A en croire Victorien sardoux, ma payse catherine Hübscher aurait dû donner du plaisir puisqu'elle était sans... sans, dis donc, le même deuxième que ma première charade. "Et où vous voulez prendre femme ? vous voulez que ça reste en famille ? quoi ? Vous voulez laver votre linge sale en famille ? Mais vous n'y pensez pas ! Et que faites-vous de la prohibition de l'inceste ? Soyons sérieux ! On reprend tout, il y a là toute une éducation à refaire. Je vous remets à la péno, et vous me refaites l'argot de l'exercice en premier ; allez, je vous le décompose (je suis pas vache) : mon petit a) est ma femme d'avant ; avec la pension que je lui verse (n'oubliez pas qu'elle est ma petite a)), elle est allée prendre mes deuxièmes, qu'elle n'a pas perdues, aux thermes de bagnères de bigorre ; il paraît que c'est en prenant mes deuxièmes à je ne sais plus quels thermes que la future reine victoria a rencontré son prince Albert de Marie. Pouvez-vous me dire à quels thermes c'était ? et, si vous en avez un ou une, en quels termes vous êtes avec votre petit a) ? si, dans mon premier de ma première charade, je vous demandais de prendre "au clair de la lune" dans le ton le plus simple et sans altération, je vais maintenant vous demander, puisqu'il s'agit de prendre femme, de faire vos troisièmes, comme "Maguy, qui voit souvent rouge, avec elle ça bouge." Elle voit rouge ? comme voyelle finale de son prénom, qui est aussi la voyelle rouge, vous connaissez rimbaud, c'est la voyelle maquillée, souriez, vous êtes filmées ! Pellicules, shampoing, vous êtes au point ? Mon tout, selon les ethnologues, consiste à faire souche, prendre femme et s'accoupler en cessant de chercher vos partenaires dans la famille sous prétexte qu'elles seraient "les objets les plus disponibles", non mais pour qui vous prenez-vous ? La femme est toute une gamme de charme. Quant à moi, le grutier, vous pouvez appeler ma dépanneuse au secours de votre irrésolution en me bravant à cette adresse : julien.weinzaepflen@numericable.fr

vendredi 5 octobre 2012

Deux charades faciles

Mon premier redoublé exprime la raillerie ou l'ironie. Mon deuxième quand il est de terre, il ne rivalise pas avec celui de fer. Mon troisième est le symbole du titane. Mon quatrième est l'auteur de la trilogie berlinoise. Mon tout est l'ancien nom du pharmacien. Allons-y pour une petite deuxième, ça vous tiendra en haleine un peu plus longtemps. Mon premier sert à faire des phrases. Mon deuxième est le thymus comestible de l'agneau ou du veau. Mon troisième est un adjectif possessif. Mon quatrième réfute. Mon tout est un pays. A vous de jouer et n'oubliez pas de répondre ici : ludovic.thuin@sfr.fr Amicalement, Ludo