mardi 20 novembre 2012

L'adimots perfectionniste

comme le pastis. Il en est qui disent: "je suis perfectionniste", pensant exprimer par là une qualité. Un beau jour de je ne sais plus quelle année (peut-être 92, 500ème anniversaire de la découverte de l'Amérique), moi-même, j'ai fait cette découverte, depuis relayée assez largement par les psy et autres médecins de l'âme: "finalement, être perfectionniste, c'est plutôt un $"défaut", un problème, une g ê n e. Pourquoi? Quand vous recevez une lettre, elle vous déclenche par son contenu le désir, l'envie, la motivation d'y répondre? Masi presque aussitôt, vous vous dites: pour bien répondre à cette lettre, pour que ce soit $"parfait", il faut préparer longuement la tâche; il faut donc attendre le moment favorable, moment où j'aie le temps, la liberté d'esprit, l'inspiration disponible... Bref, moment parfait pour une action qu'on veut parfaite... Alors, comme ce moment on ne le juge jamais favorable, parfait (parce que, selon la sagesse populaire, la perfection n'est pas de ce monde) ne vient jamais, on ne fait pas. J'ai appris de Baudelaire que ça s'appelle la $"procrastination": tendance à remettre toujours au lendemain $"ce qu'on ferait d'une seule main". "Méfiez-vous du premier mouvement, c'est le bon" (et pas toujours le $"b o n d") (Talleyrand, mais la parenthèse est de votre serviteur") Papa, rigole pas, on joue!" Définition: production des glandes (ça pète à Notre-Dame-des-G l a n d e s) en sept lettres (comme les sept sages) dont un r en 3 (oui, bien un r en 3! l'ai-je bien descendu? dit le tueur à gage) deux mots etc. renom (r e n o m) + oh (oh, renom, que de crimes (Belkacem) on commet en ton nom et renom. Papa, rigole pas, on joue" ici mustapha.tarabhat75@orange.fr

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