vendredi 16 mars 2012

La charade du loup-garou

Neuvième charade, remue-méninges 33

Ouaououou, ça fait peur ! Aujourd'hui, nous allons toucher ensemble au paroxisme de l'épreuve ou de la laideur, mais à un paroxisme d'énonciation, et d'énonciation apocalyptique. Un paroxisme d'énonciation apocalyptique, t'aurais pas pu trouver plus court, charadier ?Accrochez-vous, ce n'est pas parce que c'est long que c'est plus difficile, c'est parce que vous n'osez pas que ça vous paraît difficile, voire ou que ça vous paraît long. Accrochez-vous, je vous guide, je suis votre parachute, j'ai l'air-bag qu'il faut ! Vous pouvez me taper sur le ventre, je l'appelle mon comptoir, quand il m'arrive, quelquefois, de laisser reposer mon verre. Il faut bien qu'il se repose, mais les charadeurs, que nenni ! La tension est à son comble, le parachute est ouvert, je connais le point de chute, dans un jardin sauvage, un terrain vague, à l'abandon, dans l'abandon.

Mon premier n'est pas une syllabe, juste un déterminant un peu élidé (comme il y a des pantalons élimés, mais c'est une fausse piste. Connaissez-vous le rouge limé ? Chaque fois que vous répondez à mes questions insidieuses (ou incidentes), ça peut vous rapporter des points) ;
mon premier (bis) est notre aleph français ;
mon deuxième est l'objet de l'esthétique, et le nom dont il dérive est censé pouvoir sauver le monde ;
mon troisième est une notte pannée ;
mon quatrième est l'interjection du dépit vengé ;
mon cinquième est la conjonction de la condition ;
mon sixième est le pronom impersonnel de l'opinion ou du terrain neutre ;
vous pouvez respirer ici ;
mon tout intermédiaire est une hooreur ;
mon septième est le deuxième des nombres premiers ;
mon huitième n'est pas ici ;
de mon neuvième, vient le hasard ;
mon dixième est le parking verdoyant des annimaux domestiques en cage ;
mon onzième est fatigué ;
mon douzième est un outil de menuiserie ou quelqu'un qui revient sempiternellement sur les mêmes choses ;
mon treizième est une des formes conjuguées du verbe avoir ;
Il y en a treize, c'était à prévoir ;
mon deuxième tout, dont le décompte commence à partir de mon neuvième et va de 9 à 13 comme il y en a d'autres qui font des 5 à 7, est isolé par abandon ;
et mon tout est le comble de l'horreur ;
je vous y ai conduit, je vous y laisse, le loup-garou peut regagner ses pénates.

Non sans vous avoir redonné son adresse :

julien.weinzaepflen@numericable.fr

(Le loup-garou s'appellerait Julien weinzaepflen et habiterait quelque part en france, dans la rue numéricâble ? C'est une piste, vraie, fausse, qu'en sais-je !

Il pourra toujours lui prendre de venir vous reprendre dans les errements d'une autre nuit.
N'ayez pas peur ! Qui déchiffre l'énigme a la clef du chemin. Mais la vie est éminemment énigmatique, et on ne peut pas en connaître le chemin. On ne peut que semer, deci, delà, des miettes de pain pour ne pas se perdre.
Des miettes de pain comme des repères de charade. Ou bien comme cette adresse du loup-garou qui peut vous dépanner :

julien.weinzaepflen@numericable.fr

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